En l'absence de privilège d'entraîner à notre postérité

En l'absence de privilège d'entraîner à notre postérité

En l'absence de privilège d'entraîner à notre postérité

Tenir nos tenures comme nous le faisons, sans privilège d'entraîner à notre postérité, un œil à son propre intérêt, ou à celle de sa famille qui est de réussir à sa succession, doit avertir le constructeur d'une maison à l'adoption d'un plan qui seront, en cas de vente de la succession, impliquer aucune perte grave. Il faut construire une telle maison comme on le verra aucun inconvénient, à ses frais, à la valeur de vente du terrain sur lequel il se trouve, et toujours équipé pour la place qu'il occupe. Par conséquent, une imitation des étendues, demeures élevées, crénelées d'Angleterre ou du continent, même si en miniature, sont tout à fait inadaptées à l'agriculteur ou le planteur américain, dont les terres, au lieu d'augmenter dans sa famille, sont continuellement soumis à une division ou à la vente en masse, de sa propre disparition, et lorsque la succession est encombré de bâtiments inutilement grands et coûteux, ils deviennent un inconvénient absolu de sa valeur dans les deux cas. Une maison chère nécessite une dépense correspondant à maintenir, sinon son effet est perdu, et plus d'un digne propriétaire d'un hôtel coûteux a été tirée à vendre et à abandonner son domaine tout à fait, de son refus ou l'incapacité à soutenir «l'établissement» dont il impliquait, quand, si le logement était seulement comme la succession nécessaire et pourrait raisonnablement maintenir une maison satisfait et heureux serait restée à lui-même et sa famille. Il appartient, par conséquent, le constructeur américain de bien examiner ses locaux, afin de déterminer les besoins réels de sa ferme ou une plantation, de la commodité et de logement, et de construire que dans la mesure, et à un tel coût que ne doivent pas appauvrir ses moyens et ne provoquent pas l'inquiétude avenir.